Décidément, il ne fait pas bon à être locataire d’Antony Habitat si vous êtes victimes d’hyper électro sensibilité aux ondes magnétiques émises par les antennes relais. C’est en tout cas ce que l’on peut déduire de l’histoire qu’est en train de vivre la locataire d’un appartement situé au dernier étage du 20 rue Joseph Delon, immeuble sur lequel Orange et SFR ont implanté des antennes relais.
Depuis plusieurs mois, cette locataire se plaint d’acouphènes, de sensations de vertiges, d’insomnie, de réveils nocturnes, de troubles de la concentration et de la mémoire lorsqu’elle se trouve dans son appartement ; autant de symptômes provenant de son hyper électro sensibilité aux ondes magnétiques émises par les antennes relais, certificat médical à l’appui.
Seule solution envisageable pour cette locataire pour que son état de santé s’améliore : obtenir d’Antony Habitat son relogement dans une autre résidence située en zone neutre vis-à-vis des antennes relais, demande qu’elle a formulée depuis le mois de mars dernier sans qu’à ce jour une seule solution acceptable ne lui ait été proposée par le Président d’Antony Habitat. Pire, il lui aura fallu attendre le 5 novembre pour qu’une première proposition de relogement lui soit enfin faite, à quelque mètres seulement de son actuel logement ; proposition qu’elle n’a eu d’autres choix que de refuser.
Alors que cette locataire paye aujourd’hui un loyer pour un logement qu’elle ne peut habiter, il est devenu plus qu’urgent qu’Antony Habitat procède à son relogement dans les plus brefs délais comme l’on demandé par écrit à son Président François Meunier, Pascale Le Néouannic et Dominique Fié.